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Les sénateurs canadiens ont approuvé le projet de loi C-7 hier au sujet de l’élargissement de l’accès à l’aide médicale à mourir.
Il a été accepté dans la même version qui avait été proposée par les élus de la Chambre des Communes.
Dans cette version finale, ce ne sont plus seulement les personnes dont la mort naturelle « est raisonnablement prévisible » qui pourront y être admissibles.
Les personnes souffrant de troubles de santé mentale devront également attendre deux ans avant qu’on détermine si elles ont droit à l’aide médicale à mourir.
Selon La Presse, un comité d’experts devra notamment faire des recommandations au gouvernement quant aux protocoles et aux dispositifs de sécurité à prévoir dans les cas de problèmes psychologiques.
Finalement, les gens craignant de perdre leurs facultés cognitives ne pourront pas effectuer une demande de manière anticipée. Un comité parlementaire se penchera toutefois sur l’affaire de manière plus précise.