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Une autre pénurie se pointe le bout du nez : les sapins de Noël.
Le président de l'Association des producteurs d'arbres de Noël du Québec, Charles Vaillancourt, a confié au Devoir que l'année a été particulièrement difficile pour plusieurs producteurs.
Les gels printaniers ont nui à la production en Beauce et en Estrie, ce qui représente plus de 50% de la production québécoise. Les sécheresses estivales ont également nui à la bonne pousse des arbres, qui perd de sa verdure.
On estime qu'il y aura au minimum 10% moins de sapins de Noël disponibles cette année.
Quand on se compare on se console toutefois, alors qu'en Colombie-Britannique, les canicules et sécheresses ont eu raison jusqu'à 70% des plantations de certains producteurs.
Photo | Les Grands Jardins de Laval