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1 septembre 2022 UNE NOUVELLE ÉMISSION MATINALE À WKND 99,5!

UNE NOUVELLE ÉMISSION MATINALE À WKND 99,5! 

MONTRÉAL, 1er septembre 2022 – WKND 99,5 est fière d’annoncer l’arrivée de Vincent Dessureault aux côtés de Mélanie Maynard et de Julien Poirier-Malo dans une toute nouvelle mouture de l’émission matinale à compter du mardi 6 septembre 2022. 

La nouvelle émission On part ça d’même se veut un magazine d’information et de divertissement, tous les matins de semaine de 5h30 à 9h; une formule revampée offrant une vision plus jeune et rafraichissante de l’actualité. L’émission sera un parfait compromis entre les radios parlées et musicales du marché. Elle mettra l’information et le contenu de qualité à l’avant-plan en traitant des sujets qui interpellent les auditeurs montréalais. Les grands acteurs de l’actualité y seront conviés, ainsi que plusieurs collaborateurs afin de traiter des enjeux de l'heure. L’émission conservera son caractère agréable et divertissant avec la folie et la spontanéité de Mélanie Maynard. « Je ne vous cacherai pas que je rêve d’une émission comme celle-ci à la radio depuis des années… le temps des interventions de 3 minutes top chrono et de sortir sur un punch scripté est révolu. Les gens veulent du vrai. De l’authenticité. C’est ce que nous allons leur offrir », mentionne avec enthousiasme l’animatrice.  

Vincent Dessureault à WKND 99,5 

L’animateur et journaliste Vincent Dessureault est un véritable passionné des communications cumulant plus de 20 ans d’expérience à la radio et à la télévision. Jusqu’à tout récemment, il était chroniqueur à Salut Bonjour Week-end et coanimateur de Mario Dumont à la radio. Vincent ajoutera une nouvelle dynamique à l’émission matinale. « L’arrivée de Vincent va solidifier notre équipe d’animation et ajoutera beaucoup de profondeur à notre radio. C’est un gars d’actualité crédible, un vrai artisan de radio qui est exactement dans l’âge moyen de notre auditoire cible. C’est notre désir de sortir des sentiers battus et de donner beaucoup plus de place aux artisans comme lui et Julien Poirier-Malo... deux gars curieux, informés et qui n’ont pas peur de traiter l’actualité quotidiennement », indique Steven Croatto, directeur de la marque WKND. 

NOUVEAUTÉ : LES COLLABS!

Mais ce n’est pas tout! L’émission pourra également compter sur l’aide de plusieurs collaborateurs extraordinaires dans un segment quotidien qui s’appelle « la collab ». Tous les jours de 7h30 à 7h55, l’équipe partagera le micro avec Mélanie Couture (mardi), Étienne Boulay (mercredi), France Castel (jeudi) et Tommy Néron (vendredi). Anne-Marie Withenshaw viendra également jaser de télé, de famille et de musique du lundi au jeudi à 8h40. Oui! Vous avez bien lu, Étienne Boulay restera dans la grande famille WKND comme collaborateur hebdomadaire.

Alexandre Barrette de retour pour une troisième année 

Mélanie Maynard est de retour pour une troisième année à l’antenne, tout comme Alexandre Barrette qui conserve la barre du Pas Pire Show, du lundi au jeudi de 11h30 à 13h, avec la pétillante Geneviève Hébert-Dumont. Alexandre ne cache pas sa joie et sa fierté de poursuivre son aventure radiophonique à WKND 99,5. 

Véritable référence musicale dans l’industrie, Anne-Marie Withenshaw continue d’animer WKND la semaine, de 9h à 11h30 et de 13h à 15h, et Le Double Décompte WKND, le samedi de 9h à 11h. Quant à Patrick Langlois, il reste aux commandes des émissions Le Studio WKND, en semaine de 18h à 20h, et du Roadtrip du WKND, la fin de semaine, de 11h à 17h.

WKND 99,5 peut également compter sur la solide équipe du Détour avec Pascal Morrissette, Bryan Audet, Geneviève-Hébert Dumont et Marc-Antoine Nunez. « Nous sommes choyés de pouvoir continuer de compter sur cette équipe expérimentée et créative pour le retour à la maison. », poursuit M. Croatto. 

Même chose pour Les Soirées WKND, en semaine dès 20h, avec Annie Major-Matte et La Zone New Country, dimanche 10h, avec Gabriel Marineau

Avec ces annonces, la radio différente à Montréal présente une grille de programmation automnale solide en misant sur la formule gagnante qui lui a permis de connaitre un succès remarquable depuis son lancement en 2020.

par WKND
23 août 2022 Des écrans tactiles (très) distrayants au volant

La technologie qui vise à nous simplifier la vie finit parfois par la compliquer.

Une enquête réalisée par un magazine automobile suédois révèle que les écrans tactiles, installés dans la majorité des nouveaux modèles, seraient plus complexes et plus longs à utiliser que les boutons classiques qu’ils ont progressivement remplacés, parfois presque totalement.

Pour parvenir à ces résultats, l’équipe de Vi Bilägare a mis au défi des conducteurs, alors qu’ils étaient au volant en circuit fermé à 110 km/h, de réaliser les tâches suivantes :

- Activer le siège chauffant, monter la température de deux degrés, et activer le dégivreur arrière

- Allumer la radio, et sélectionner un poste précis

- Remettre à zéro l’ordinateur de bord (fonction qui calcule le kilométrage d’un trajet donné, souvent représentée par Trip A/Trip B)

- Baisser la luminosité du rétroéclairage du tableau de bord, et éteindre l’écran central 

Parmi les véhicules testés : 11 modèles récents, luxueux ou pas, mais tous dotés d’écrans tactiles, ainsi qu’une Volvo V70 2005, équipée de boutons physiques. Les conducteurs avaient du temps pour s’acclimater au tableau de bord de chacun des véhicules. 

Des écarts majeurs d’une auto à l’autre

Les résultats sont sans équivoque. Les conducteurs ont mis en moyenne dix secondes à réaliser ces quatre tâches une après l’autre au volant de la vieille Volvo, et jusqu’au triple dans les autres véhicules. 

Celui qui se mérite la pire note est la BMW iX, nouveau modèle électrique du constructeur allemand, et facturé chez nous près de 90 000 $. Les conducteurs devaient quitter la route des yeux plus de 30 secondes pour réaliser les tâches ce qui représente, à 110 km/h, près d’un kilomètre d’autoroute. Pour la Volvo, c’était 300 mètres. 

Le chronomètre a atteint 27 secondes pour la Hyundai Ioniq 5, 25 secondes pour le Nissan Qashqai, 24 secondes pour la Tesla Model 3, et 19 secondes pour la Subaru Outback. 

Peu surprenant, tranche un expert québécois

Interpellé par WKND sur ces résultats, le professeur de l’UQAC Martin Lavallière se dit peu surpris. Aux yeux de cet expert qui a passé deux ans au Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour un stage postdoctoral consacré aux technologies embarquées et à la distraction au volant, les écrans tactiles sont juste… moins ergonomiques. 

Contrairement aux boutons qui confirment physiquement que l’on a appuyé, les écrans, dit-il, n’offrent aucune « rétroaction ». Il devient donc presque inévitable pour le conducteur de quitter les yeux de la route pour s’assurer qu’il a appuyé au bon endroit. Un conducteur appelé à conduire différents véhicules fait face à une tâche encore plus ardue, comme les systèmes diffèrent d’un modèle à l’autre. 

Il constate que ces écrans, malgré leurs lacunes en matière de sécurité, se multiplient face à la demande des consommateurs. Si la mode du tactile semble irréversible, il faut surtout s’interroger, selon lui, sur les constructeurs qui, comme Tesla, forcent le conducteur à passer par le système de navigation pour activer des fonctions qui influent sur la sécurité, comme l’éclairage ou les essuie-glaces. 

Aux autorités d’intervenir ?

Face à cette tendance, des voix s’élèvent pour que les autorités balisent ce qui doit être activé par des boutons classiques. C’est déjà le cas, entre autres, des feux d’urgence, toujours mis en marche par un bouton pressoir en forme de triangle rouge. 

Comme l’explique Martin Lavallière, les États ont plusieurs fois forcé la main de l’industrie. Il cite l’imposition des caméras de recul obligatoires en 2018, ou celle de l’Electronic Stability Control, ou antipatinage en français. Or, rappelle-t-il, ces changements législatifs touchent un enjeu purement lié à la sécurité. Le défi des systèmes de navigation, lui, semble plus complexe.

« Les écrans tactiles, c’est un argument de vente des constructeurs. Ils vendent leurs véhicules comme des extensions de nos téléphones cellulaires. » Ils seraient donc, à ses yeux, plus difficiles à convaincre dans ce dossier. 

En bout de piste, selon lui, il revient quand même au conducteur de choisir ce qu’il fait en conduisant son véhicule. « Ce n’est pas parce qu’on peut le faire qu’on doit le faire, » tranche-t-il, avec sagesse.

par Julien Poirier-Malo
12 août 2022 J'achète un livre québécois : les suggestions d'Aloha WKND

Chaque 12 août, le Québec souligne depuis 2014 la journée J'achète un livre québécois. La gang d'Aloha WKND en a profité pour faire des suggestions :

Celles de Val :

Nos forêts intérieures, de Julie Dugal

Nos forêts intérieures par Julie Dugal | Littérature | Roman québécois |  Leslibraires.ca

La trajectoire des confettis, de Marie-Ève Thuot

La Trajectoire des confettis (French Edition) - Kindle edition by Thuot,  Marie-Ève. Literature & Fiction Kindle eBooks @ Amazon.com.

Celles de Meg : 

Lamentable, de Sam Cyr

Lamentable par Sam Cyr | Littérature | Roman québécois | Leslibraires.ca

L'initiation, de Alain M. Bergeron

Initiation (L') par Alain m. Bergeron | Jeunesse | Romans 10-14 ans |  Leslibraires.ca

Celles de Pat :

Ça sent la coupe, de Matthieu Simard

Ça sent la coupe par Matthieu Simard | Littérature | Roman québécois |  Leslibraires.ca

Réussir : aller au bout de ses rêves, de Jacques L. Ménard

Livre Réussir - Aller au bout de ses rêves | VLB éditeur

Celles de Juju :

Là où je me terre, de Caroline Dawson

Là où je me terre par Caroline Dawson | Littérature | Roman québécois |  Leslibraires.ca

Une femme extraordinaire, de Catherine Ethier

 

Une femme extraordinaire par Catherine Ethier | Littérature | Roman  québécois | Leslibraires.ca

Profitez de la journée pour aller vous acheter un livre québécois, ou plusieurs ! Et préférablement chez votre libraire indépendant :)

par Julien Poirier-Malo